Voici un tryptique culte (pour les grands et les petits)
En cherchant bien vous y trouverez quelques "jingles" utilisés par ici...
Les chroniques et critiques ne sont pas de moi, après tout moi aussi j'ai le droit à une pause !
Derrick contre Superman
L'histoire : La chaîne de télévision La Cinq disparaît. Derrick essaye de la sauver.
Pour cela, il contacte des héros pour l'aider tel que Navarro, Starsky
et Hutch, le capitaine Kirk,... Mais Superman n'est pas de cet avis et,
avec Roger Moore et Numéro 6 (M6), décide de le mettre hors d'état de
nuire
Avant de réaliser Le Grand détournement/La classe américaine,
Michel Hazanavicius et Dominique Mezerette nous gratifiaient d'un grand
moment de n'importe quoi.
Les tribulation de Derrick pour remettre sur pied La Cinq en
recrutant des stars de séries télé diverses donnent lieu à un festival
de vannes allant du lourd à l'absurde. A regarder en boucle, encore et
encore, avec des personnes de bon goût.
Une vingtaine de minutes cultes qui se bonifient à chaque visionnage, Roger ?
La classe américaine
Part 1 :
Part 2 :
Part 3 :
Part 4 :
Le film commence en affichant la phrase : « Attention ! ce flim n'est pas un flim sur le cyclimse. Merci de votre compréhension » [sic]. L'histoire débute avec la mort de « l'homme le plus classe du monde », George Abitbol (John Wayne), au large de l'atoll de Pom Pom Galli, situé entre l'Australia et la South America, dans l'Ocean South Pacific. Les journalistes Dave (Paul Newman), Peter (Dustin Hoffman), prononcé « Pétaire » et non pas « Piteur », et Steven (Robert Redford), prononcé « Stévaine » et non pas « Stiveun », enquêtent sur ses dernières paroles : « Monde de merde ». Les journalistes vont donc approcher toutes les personnes qui l'ont connu pendant sa vie au Texas (prononcé « Tegzass »), et découvrir qu'il n'était pas aussi classe que la légende le prétend...
Le film se pose volontiers en hommage au Citizen Kane d'Orson Welles. La
présence de ce dernier dans le film, qui fait savoir à quel point il
n'aime pas « les voleurs et les fils de pute » informe le spectateur que
le film se pose davantage en dédicace qu'en plagiat de l’œuvre mythique
du cinéaste reconnu.
Plus pour les enfants (encore que)
Le Triomphe de Bali Balo
Après le court "Derrick contre Superman" et avant leur
chef-d'oeuvre "La classe américaine", Michel Hazanavicius, Dominique
Mezerette et Daniel Lambert détournaient l'émission "Ca cartoon" avec la
complicité de Philippe Dana et de Valérie Payet, incorporant des
extraits de cartoons, de séries télévisées, de films français et de
films américains tournés sous pavillon Warner.
Moins définitif que "La classe américaine", "Ca détourne" souffre surtout d'un fil conducteur ténu, le récit partant dans tous les sens et s'achevant en eau de boudin, pas aidé par les facéties pas drôles du duo Payet / Dana.
Heureusement, le délire fait tout de même son effet, concentré d'humour non-sensique et complètement con, bourré à ras-bord de répliques cultes ("T'en as pas marre d'être nazie ?") et de moments d'anthologie, où des stars comme Steve McQueen, Marlon Brando, Elizabeth Taylor ou Burt Lancaster se ridiculisent pour notre plus grand plaisir.
Petite pensée particulière pour Daffy qui s'est fait enfiler pour les fêtes et qui se sent humilié.
Moins définitif que "La classe américaine", "Ca détourne" souffre surtout d'un fil conducteur ténu, le récit partant dans tous les sens et s'achevant en eau de boudin, pas aidé par les facéties pas drôles du duo Payet / Dana.
Heureusement, le délire fait tout de même son effet, concentré d'humour non-sensique et complètement con, bourré à ras-bord de répliques cultes ("T'en as pas marre d'être nazie ?") et de moments d'anthologie, où des stars comme Steve McQueen, Marlon Brando, Elizabeth Taylor ou Burt Lancaster se ridiculisent pour notre plus grand plaisir.
Petite pensée particulière pour Daffy qui s'est fait enfiler pour les fêtes et qui se sent humilié.
Bonnes vacances, bonne pause, bon repos, bonne glandouille...
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