samedi 10 août 2013

L'obscénité et la fureur... avant la télé réalité (Filth and Fury)


Les Pistols originaux, avant le saccage de Glen Matlock pour le plus médiatique Sid Vicious...

Honnêtement, je n'ai jamais mordu à l'hameçon Sex Pistols. Surement parce que la caravane "1ère époque" du punk anglais était passée depuis un bail au moment de mon intérêt pour celui-ci en 1981.
De toutes façon, à cette époque, que le groupe soit cité comme quasi unique référence pouvait suffire à m'en détourner ! Moi je préférais la pochette du 1er Damned, son esprit potache, le son des Ruts, le combat du Clash, le fun des Ramones, les synthés de Taxi Girl découvert par le biais de mon père (RIP)... Et le "street punk" était déjà arrivé, avec son lot de groupes tous plus "anti music" les uns que les autres... Puis Vicious, était déjà parti au-delà. Mais son côté "icône", je l'avoue, m'avait quand même séduit. Ado, on se cherche des modèles. Et puis cette façon de porter le Perfecto ! Ces boots de moto !

 Johnny Rotten et Sid Vicious, total fashion punk rock ! (1978)

Ce côté "je vous emmerde tous". Sale petit con. Ouais, voilà bien un modèle qui collait à l'époque. Cela m'allait comme un gant ! L'intérêt était bien plus au niveau de l'attitude que de la musique.
Cela ne veut pas dire que je fus un clone du Sid, comme il y en avait tant à l'époque (salut Kape). Clones qui imitait jusqu'à l'auto-destruction adolescente ou pas... 

Sid, façon Johnny Thunder, son seul vrai héros punk...

Aujourd'hui, avec le recul, je trouve encore plus sensationnel qu'une forme de "mouvement" ait pris forme par le biais de groupes agitateurs et non formatés... Enfin, on sait bien aujourd'hui que tout ça est un peu foireux... De groupes sincères, on en décompte peu. Surement pas les Pistols, à la base tout du moins. Mais cela a suffit à remuer "l'etablishment" du rock'n'roll et de la société coincée du derrière, ce qui fait mon bonheur sans problèmes !
Pour moi, le punk était surtout une façon de surtout ne pas ressembler à mes parents, ni à mes potes de l'époque d'ailleurs... A cette période fallait quand même plus assumer qu'aujourd'hui d'être "différent" !!
Savoir courir ou jouer des poings était primordial.
Aujourd'hui, on a le droit à notre lot de documents historiques, bouquins, films, documentaires sur ce sujet qu'on ne vivait pas comme tel à l'époque (on était encore dans le "no future"). Perso, j'étais loin de penser qu'on en parlerait autant à l'avenir. Tout cela est tellement hyper récupéré aujourd'hui au niveau de la mode, de la zik, du cinéma qu'on en gerberait de dégoût.
J'avais apprécié le côté "do it yourself" remis au goût du jour par l'alternatif français mais j'avoue que les meutes de punks à chiens qui ont déboulés par la suite m'ont laissé dubitatif... Le côté français du rock surement, ou plutôt franchouillard... Puisqu'on est dans l'insulte au truc originel.
Je ne juge pas, je constate. Finir pouilleux et alcoolique au troisième degré n'est pas une fin en soi.
Mais chacun suit sa voie, tracée ou non.


Bon, alors ce film ? Il se veut une remise à l'heure des pendules concernant le 1er boys band (le truc qui en énerve certains) du rock'n'roll... Les héros de l'époque, sauf Sid absent pour cause de cimeterrite aigüe, veulent rétablir toute la vérité sur leur histoire (ha ha ha !) Il est réalisé par Julien Temple, réalisateur de "La grande escroquerie du rock'n'roll" à la fin des Pistols. Film utilisé par Malcom Mc Laren pour récupérer un peu de pognon... Perso, sans grand intérêt, mis à part l'apparition de Sid Pour la cover de "My way".
 
Les Sex Pistols reformés... On se rend compte que Glen Matlock, le bassiste original y retrouve sa place avec classe et naturel.

En lisant "Apathy for the Devil" de Nick Kent, le journaliste rock plus défoncé que les stars sur lesquelles il faisait ses papiers (hormis Keith Richards), le flou sur  la création et l'histoire du groupe pourra paraître encore plus opaque. Personne ne sort indemne d'une histoire (ou escroquerie) du rock'n'roll.
Nick Kent aurait fait découvrir les Stooges et les Modern Lovers aux puceaux du punk rock originel anglais...


D'ailleurs le Nick Kent en question apparait dans le film, accompagné de sa défonce originelle, qui ne l'a pas quitté des seventies riches en groupes d'exception en tout genre...

 Les Pistols, seconde mouture, toujours aussi trash...

Le film est en VO sous titré français pour les cancres comme moi qui préférait aller picoler plutôt que de suivre les cours... Pas de polémique Pistols en ce qui me concerne hein.
On était loin de se douter que tout ce cirque médiatique était que dalle par rapport à ce qui se passe sur vos écrans aujourd'hui... Encore plus merdique car sans charisme ni idéologie...

Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Part 4 :

Un look qu'on a tous aimé, à l'époque.

Sid donne une leçon de punk rock... C'est de là que l'on se rends compte de l'efficacité des cours de basse donné par Lemmy de Motörhead... (USA, 1978)


BON FILM !

Cadeau BONUS : quelques vidéos de groupes anglais issus de l'époque, les plus médiatisés à l'époque étant XTC, Stranglers, Sex Pistols, Blondie (que viennent ils donc foutre là ?), Ian Dury, Buzzcocks...
On y trouve aussi Taxi Girl (passage à Chorus), Ruts, Dr Feelgood (l'énergie punk vient aussi de là), PIL, Undertones, Generation X,
The Members, Tom Robinson Band, Bow Wow Wow (escroquerie !), Skids, Flying Lizards...
Si mes souvenirs sont bons, c'est en partie issu d'une compile Virgin Records, qui essayaient de récupérer un peu de fric au passage (90's).
Le reste fait parti de mes archives personnelles, glanées sur le web ou sur des VHS, DVd perso.

STARSHOOTER (Chorus)

Les DOGS (Chorus) Pas vraiment issu du punk car présent avant, mais ils méritent une place ici tant leur influence, direct ou indirecte sur le rock'n'roll hexagonal et international est importante. Que cela soit lié au punk rock ou non. Prenez cela comme un hommage.
La formation ici avant l'arrivée de Antoine Masy-Perier (Tony Truant) en seconde guitare.

DR FEELGOOD (Chorus), l'énergie du pub rock a bien servi la cause punk en préparant le terrain.

Taxi Girl, pas mon morceau favori mais prenez le comme un hommage à Daniel Darc (R.I.P)

Virgin Comp. (part 1)

Virgin Comp. (part 2)


9 commentaires:

Anonyme a dit…

Les Pistols premier boys-band de l'histoire du punk, c'est un cliché usé mon cher Chris. Il n'y a d'ailleurs que chez nous qu'on y croit encore. Les Pistols, c'était quoi, en fait? Quatre gosses de milieux populaires (à part Matlock) qui voulaient faire de la zique. Ils y sont arrivés, ont fait chier l'establishment, ont fait des jaloux qui les chargent encore aujourd'hui en les faisant passer pour un groupe préfabriqué. Si McLaren avait été le futé renard qu'il a toujours prétendu être, comment expliquer son échec avec les Dolls, et ses échecs post-Pistols? Car il faut bien le reconnaître, après les Pistols, le "génial créateur de tout" n'a jamais rien fait d'exceptionnel, un single avec Bow Wow Wow resté quelques semaines en milieu de charts, un single en solo qui n'a même pas traversé l'Atlantique, un album au début des 90's qui ne s'est pas vendu (oui, celui avec les dames de Paris, Deneuve & co). Bref, les Pistols ont plus fait McLaren que l'inverse, mais ça, il faudra du temps pour que ce soit admis au pays des fromages qui puent (toujours un peu "caillou" le frenchy, quand il a gobé un truc, difficile de le faire changer d'avis). Quant à Nick Kent, que dire sur ce clown à part qu'il n'est venu répéter que deux ou trois fois avec le groupe, qu'il était défoncé à chaque fois, incapable de jouer correctement, il a fini par se faire virer et en a voulu à mort à tout le monde, manager et groupe. Pour se venger, il ne cessera ensuite de faire courir le bruit dans tout Londres (à l'époque il bosse pour le NME et connait beaucoup de monde) que les Pistols ne jouent pas sur leur premier single, que Steve Jones s'est fait remplacer par Chris Spedding pour faire la guitare sur la première démo, etc, etc. Avec de tels "amis" (Kent, McLaren, Westwood, etc), pas étonnant que ce groupe traîne encore aujourd'hui la pire réputation qui soit. Pourtant, c'était un foutu bon groupe, plein de feeling, et il a accouché d'un album extraordinaire. Sans les Pistols, désolé Chris, mais il faut l'écrire, sans eux donc, pas de Damned, pas de Clash, pas de Buzzcocks, etc. ;-)
Love, peace & pittbulls.
RV.

Chris Damned a dit…

Hé, hé, Hervé, je m'étonnais de ne pas t'avoir vu encore réagir !
Tu sais, si j'ai mis des points de suspension aux déclarations de Nick Kent, c'est bien que je le trouve un poil prétentieux et mythomane dans son bouquin...
La défonce exalte les sensations et l'imaginaire... Ajouté à une prétention assez balaise (pas étonnant qu'il soit pote de Manoeuvre) tu as un mélange qui mérite d'être analysé.
Une précision importante : les DAMNED auraient exactement fait la même musique avec ou sans Pistols, crois le, tout ce que j'ai lu à ce sujet le confirme.
Brian James, lui, connaissait bien les Stooges et la révolution des garages étaient en train de s'opérer en Angleterre aussi...
Que les Pistols aient accéléré le mouvement sous la houlette de cet arnaqueur de Malcom qui avait tout gobé à N.Y soit, mais des trucs étaient en marche...
Pour moi, Steve Jones était un bon guitariste dans son genre, Johnny Rotten, la vrai intelligence du gang et Matlock un bon compositeur. Les autres... Jamais été influencé par le jeu de batterie de Paul Cook et encore par le jeu de basse (!!) de Sid. Qui n'était là que pour en rajouter à la médiatisation du groupe par son attitude. Son incidence à lui, c'est bien l'attitude, hein, comme je l'ai écrit.
Le but de cet article n'est pas de casser du Pistols, mais juste utiliser le recul pour ré-apprécier tout ça. Pas la prétention d'être un esthète non plus, hein.

Anonyme a dit…

Hé Hé !!! Tu m'as donc reconnu :-)
Bon, il est bien évident que sans les Pistols les choses auraient eu lieu, je taquinais un brin. De toutes manières, je n'ai jamais participé aux concours de bites qui consistent à savoir lequel est arrivé le premier et qui a inventé quoi. Ce qui s'est passé à NYc avec les Ramones, Richard Hell etc auraient très bien pu avoir lieu en Australie avec Birdman, Saints etc, ou en Angleterre. Quelque était en train de se produire, etc.
Pour moi, l'histoire du Boys-Band qui est collé aux dos des Pistols relève plus du fantasme que de la réalité. McLaren et Rhodes étaient potes mais étaient également toujours en compétition. McLaren a vu Rhodes "monter" les Clash (pas un Boys Band pour autant mais Rhodes a fait les présentations des musiciens, leur a donné des conseils sur le look, les chansons, etc) choses que McLaren n'avait pas trop eu le temps de faire avec les Pistols puisque ceux-ci avaient déjà leur look (surtout Rotten) avant que le rouquin frisé les prenne sous son aile en revenant de New-York. Si on ajoute à cela que c'est Jones et Rhodes qui ont fait entrer Rotten dans le groupe, ça affaibli le rôle de grand créateur du punk que McLaren a bien voulu se donner. Bref, pour faire court, on ne m'enlèvera pas de l'idée que McLaren a foiré tout ce qu'il a touché de prêt ou de loin (à part les fringues, et encore, il était aidé par Westwood, Reid, et toute la clique), et dans "Swindle" il ne fait que s'inspirer de ce qu'a fait son pote Rhodes avec The Clash, de ce qu'il a vu à NYC, et il en profite pour défouler ses frustrations, ses échecs: l'interview TV avec Grundy qui a fait foirer la tournée Anarchy et le contrat avec EMI qui allait ainsi permettre à tous les autres groupes de sortir du lot pendant que les Pistols galèreraient à trouver une autre maison de disque et finiraient, contre l'avis de McLaren (qui n'avait plus d'autre choix), sur un tout petit label de baba-cools: Virgin records (qui, au passage, diffusera le clip de Pretty Vacant à TOTP contre l'avis de McLaren, là aussi, dépassé par les évènements). Aujourd'hui plus personne ne croit une seule seconde que McLaren ait été assez malin pour tout préméditer. Qu'il ait tenté deux trois choses, sans doute, comme tout manager, mais de là à en faire le créateur de génie qu'il prétendait être dans "Swindle" il y a un fossé. Si il avait été si malin, il aurait remis les Dolls sur pied, mais il a foiré dans les grandes largeurs. Idem avec les ex-Pistols qu'il a envoyé se perdre au Brésil pour deux chansonnettes débiles enregistrées avec un loser (Ronnie Biggs). Les critiques ont descendu le disques au lance-flammes, le projet a avorté, et les rushes ont été utilisés pour Swindle. Rien de bien bon, en somme. Il a eu un bole monstre avec les Pistols et en a tiré toute la gloire, c'est aussi simple que cela. Quand aux Dmaned, yes, of course, ils auraient vu le jour quoi qu'il en soit, après, il y a la question du look punk, mais les british ont toujours su inventer les modes et aiment tellement les fringues que tout s'est fait petit à petit, et tout a évolué, avec ou sans McLaren et Westwood, we don't care.
RV

Chris Damned a dit…

Et bien voilà une bonne participation à cet article ! Les échanges de point de vue sont souvent plus intéressants qu'un simple "Merci" ou "à chier". Même si eux aussi, démontrent de l'intérêt !
Le look punk, bah honnêtement, avec le recul, on rentrait quand même bien dans des cases aussi. Mais on se faisait plaisir en faisant peur à nos grands-mères et en voulant tenter "autre chose" dans l'aventure humaine.
Pour moi, c'est synonyme de grandes découvertes au niveau fringues, musique, bd, ciné, art... Un bon moyen de sortir d'une voie toute tracée...
Aujourd'hui, je en sais pas ce qui en est l'équivalent. Trop vieux pour ça.
Si je me rappelle bien mon premier look punk bricolé était plus proche de Rotten que Sid... Sans fringues estampillées "fashion" évidemment puisqu'on faisait tout soi-même... Les Perfecto, la peinture, les docs c'est venu plus tard...
Musicalement, je ne suis pas nostalgique du tout, je trouve qu'aujourd'hui un paquet de bons groupes existent, revivalistes ou pas, et c'est tant mieux !
Merci à toi Hervé, reviens quand tu veux ! ;-)

Anonyme a dit…

Ah, au fait, juste une précision: McLaren n'était pas un arnaqueur, tout au moins pas celui qu'il a prétendu être dans le film R N'R Swindle. Il a arnaqué le groupe, oui, ça, c'est un fait, il ne les a pas payé correctement. En dehors de cela, il n'a arnaqué personne, et surtout pas les maisons de disques comme il l'a prétendu plus tard (un petit commerçant de King's Road qui arnaque EMI et A&M les deux plus grosses maisons de disques anglaises de l'époque, c'est à mourir de rire. Fallait-il être le dernier des crédules pour avaler un truc pareil ! Et la tournée Anarchy en décembre 76 qui s'est soldé par un échec cuisant sur le plan financier, c'était une arnaque? Ben voyons ! Il est rentré à Londres la queue entre les jambes et EMI a du avancer un peu plus de blé sinon Glitterbest était ruiné, plus de management, nada. Autre exemple? Les essais cinématographiques avec Russ Meyer? Le moustachu fan de gros seins ne s'est pas laissé endormir, il a fallu que McLaren casque le moindre centime avant que Meyer commence à faire chauffer les caméras, tout ça pour aboutir à....un avortement de plus, pas de film, du blé dépensé pour rien, et des rushes qui sont restés chez Meyer, protégés par ses avocats. Arnaqueur? Un gosse de 15 ans ferait sans doute mieux sans se forcer ;-)
RV

Anonyme a dit…

Mon look punk aussi était totalement bricolé, sans trop de tunes (normal, j'étais au collège, je ne bossais pas) je m'étais fait mon look façon Buzzcocks / Pistols, une vieille veste de costard à mon père, quelques badges, un peu de gel dans les cheveux, une chaine autours du cou (façon Damned avec un mousqueton pas le cadenas façon Sid), etc. Bref, c'est du passé, reste les creepers que je porte toujours, c'est tout.
La zique? Oui, aujourd'hui il y a de bons groupes (pas que du punk, bien entendu, partout, des plus connus à ceux qui sont originaires du coin où j'habite, il y a du bon. Dernièrement j'ai flashé sur Dirty Fences, power-pop, intéressant, et Leadfinger (australiens) qui jouent dans un registre plutôt pop, folk, je n'écoute pas que du brutal :-)
A+
RV

Chris Damned a dit…

Nick Kent trouvait Mc Laren sympa, un signe de plus de son esprit tordu.
Mc Laren, je m'en suis toujours un peu foutu. Après l'époque de R'n'R Swindle, peu d'intérêt de ma part, me sentant déjà arnaqué par la machinerie Pistols et consorts... J'ai crédulement pensé que le Street punk remettait les choses à leur place... Mais niveau rock'n'roll, je me suis vite fait chier !
Reste la Power pop, toujours le must à mon sens de ce qui peut me faire vibrer, le garage rock pour ses Fuzz distordues et une non revendication qui fait du bien !
Après je ne cache pas mon admiration pour Cute Lepers, Cyanide Pills, plus récents et The Briefs, qui m'avaient remis en selle niveau punk rock, début 00's...
Aujourd'hui, j'écoute encore plus de musique qu'à 15 ou 20 ans...
Mais je ne revendique rien du tout, je m'en tape. Je vais à des concerts, je discute avec des gens, chacun ses expériences... Moi c'est la vibration qu'un bon riff de guitare me procure qui fait la différence, le reste c'est du blabla ! @+ !

Anonyme a dit…

Cyanide Pills excellents ! J'ai les deux LPs, c'est très bon. J'écoute aussi beaucoup de soul en ce moment, les compilations Formidable Rhythm & Blues, des trucs R&B 60's anglais aussi (Spencer Davis Group, etc).
Idem, pour les concerts, les sorties, rencontrer des gens, partager des choses, découvrir des groupes, des zines etc.
Le Street/Oï, tu avais fait un très bon article dessus. Je n'ai jamais accroché, je ne cache pas que j'ai essayé (au même titre que les groupes "punk's not dead") des potes m'avaient prêté des skeuds, des compiles pénibles genre Chaos en France, compil' OÎ! anglaises etc. Même pas pu accrocher à Sham 69, je n'ai jamais pu blairer cette zique et son côté beauf lourdingue. Idem pour les bourrin d'Exploited et la vague Punk's Not Dead. Il n'y a plus de rock n'roll, plus de ryhthm n" blues, plus de feeling dans ces musiques, c'est simplement bourrin et la paroles sont bien souvent très pénibles.
A+
RV

Chris Damned a dit…

Bien d'accord avec toi Hervé, rien que "Punks not dead", voilà bien l'antinomie de la chose !
Merci pour tes commentaires toujours intéressants et à bientôt !
Chris D.