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lundi 6 avril 2015

Violent Kind, une histoire de pseudo...



L'histoire : Il était une fois une bande de Teddy Boys. Adeptes de violence, hors du temps et sauvages. Par une nuit étoilée, ils marchent dans la forêt jusqu’à un beau chalet où la musique bastonne. La tentation est grande d’y élire résidence… Seulement voilà, la maison est déjà occupée : C’est le gang de Cody, tous bikers, tous armés. Nos jeunes Rockabilly, par la fête attirés, s’engouffrent dans le chalet pour une danse d’un genre particulier…
Le spectacle peut commencer !

Réalisé par     Mitchell Altieri, Phil Flores
Avec     Cory Knauf, Taylor Cole, Bret Roberts plus
Genre     Epouvante-horreur
Nationalité     Américain

Voilà bien un genre que je n'avais pas encore testé : le pseudo ciné bis (pseudo) rock'n'roll (pseudo) Lynchien...
Certes, The Violent kind possède la volonté de ne pas brosser le spectateur dans le sens du poil notamment par son atmosphère plus dérangeante que ses images, et il restera en mémoire quelques scènes plutôt bien troussées (comme le cas de possession de la première victime qui semble tout droit échappé d'une scène coupée d'Evil dead). Mais force est de constater que le mélange des genres ne prend pas et que cette mauvaise alchimie confère au film un côté cul entre deux chaises. Rude constat donc pour ce pétard mouillé qu'on aurait rêvé plus rentre dans le lard! 
Merde, les réalisateurs de ce film ont du avoir accès à un stage sur le tournage d'Evil Dead et ont du récupéré un stock d'hémoglobine de cinéma qu'il ne fallait pas perdre...
En plus, incertains de leur scénario, ils ont du changer d'orientation en cours de route passant du film de (pseudo) bikers (elles sont où les bécanes ?) au  (pseudo) film d'horreur pour finir dans le (pseudo) fantastique...
Et la musique dans tout ça ?
Au moins, on aurait espérè que les réalisateurs rattachent ce film à une musique concrète, mais ils ont fait comme pour leur film, "comme si" et aucun artiste méritant n'est venu éclairer ce long bain de sang...

Voilà bien un film qui me fait penser à des "pseudo" groupes tels Horror Pops, Nekromantix ou encore pire Porcelain Black, la chanteuse gothico/soupe/rnb...



Horror Pops


Nekromantix

Porcelain Black (ouh ! la méchante...)

Cela en a la couleur, le contour, mais l'intérieur est rempli de bouse...


Une partie des acteurs du film, notez l'effort dans les tenues....

Bouh ! ou Bouuuuh ! ? (ou BOUE ?)

Le film en Vostfr :
Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Part 4 :

Part 5 (fin) :

dimanche 1 février 2015

Walk the line, mais reste toi-même


En retraçant le destin du chanteur country-rock Johnny Cash, Walk the line évoque la naissance d'un nouveau style d'artiste, celle d'un homme qui au-delà de ses colères, des ravages de la dépendance et des tentations du statut de star, a tout dépassé pour devenir une icône.
C'est aussi le parcours d'un homme qui, du fond de la période la plus noire de sa vie, a été porté par une histoire d'amour fusionnelle avec June Carter. Leur passion a nourri son art tout au long de sa vie.
Cette saga est marquée par les thèmes qui feront la force de la musique de Cash et
de son style minimaliste : la mort, l'amour, la trahison, le péché, l'espoir et la foi.

Johnny Cash dans NeatX3, vous n'y aviez pas pensé, mais c'est arrivé !
Ma rencontre avec Johnny Cash s'est faite sur le tard, après avoir acheté un coffret de ses enregistrements SUN en fait, il y a plus de 10 ans... (il n'est jamais trop tard pour...) Et autant commencer par le début.
A ce moment là, je pense qu'avec tout ce que j'avais pu lire sur le bonhomme, cela m'avait donné envie de passer le pas vers l'homme en noir sans m'étrangler (vous m'avez compris, hein)
Cela coïncidait en plus avec la sortie d'un film beau comme un diamant noir (encore) et magistralement interprété. J'ajoute que les acteurs principaux chantent réellement les morceaux du film... 
Oubliez Jerry Lee, Roy Orbison ou Elvis qui sont singés dans le film, ne vous concentrez que sur ce couple magique... La force de l'amour et de la musique dans Neat neat neat ! Les bondieuseries, bah...

Film découpé en six morceaux pour une bonne qualité d'image et de son (!!) en VOSTFR.
Bon film

Joaquin Phoenix complétement Cash
Part 1 :


Johnny et June, les vrais
Part 2


Part 3 :


Part 4 :

Part 5 :


Part 6 (final) :


Reese Witherspoon et Joaquin Phoenix, remarquables

samedi 17 janvier 2015

Radio Caroline, Sex, Vinyls, drugs, and rock'n'roll !

 Rolling stones by Chris Damned on Grooveshark



L'un des Dj's de Radio Caroline lors d'un reportage sur la station pirate

Baptisé en France "Good Morning England" (The Boat That Rocked ou Pirate Radio ailleurs) est un film germano-franco-britannique écrit et réalisé par Richard Curtis, sorti en 2009.

Largement basé sur l'histoire de Radio Caroline, Good Morning England raconte l'histoire, en 1966, d'une radio pirate fictive et de son équipage et disc-jockeys éclectiques, qui diffusent du rock'n'roll et la musique pop au Royaume-Uni à partir d'un navire ancré dans la Mer du Nord, tandis qu'ils sont confrontés aux efforts du gouvernement britannique afin de les stopper. Il est produit par Working Title Films pour Universal Pictures et a été filmé sur l'île de Portland et aux Studios de Shepperton, au Royaume-Uni.




Sorti en salles le 1er avril 2009, Good Morning England a rencontré un échec commercial (mais ça on s'en fout) au box-office britannique, avec seulement 6,1 millions de £ de recettes en douze semaines, soit moins d'un quart de son coût de production, plus de 30 millions de £.

Le film est une comédie basée sur les relations entre l'équipe de DJ's, ses fans,  et l'autorité politique de l'époque plutôt castratrice de liberté et très conservatrice... Le scénario donne l'occasion d'évoquer, avec humour, ce qui à l'époque permettait l'émancipation et le plaisir d'écouter une musique non sexuellement bridée ou mortifère... Ici, l'anachronisme est roi, comme pour le morceau qui ouvre cet article et qui est présent dans le film,  l'action se passant en 1966, beaucoup de morceaux que l'on entends dans le film n'avaient normalement pas vu le jour...

Je vous souhaite de ne l'avoir jamais vu !!

Synopsis : Carl vient de se faire renvoyer du lycée, et sa mère a décidé qu'il irait réfléchir à son avenir auprès de son parrain, Quentin. Il se trouve que celui-ci est le patron de Radio Rock, une radio pirate qui émet depuis un bateau en mer du Nord peuplé d'un équipage éclectique de DJ's rock and roll. À leur tête se trouve le Comte, un Américain exubérant, véritable dieu des ondes en synergie totale avec la musique. A ses côtés, ses fidèles animateurs : Dave, ironique, intelligent et d'un humour acéré ; l'adorable Simon, qui cherche l'amour ; l'énigmatique Midnight Mark, séduisant et silencieux ; Wee Small Hours Bob, le DJ des petites heures du matin, accro à la musique folk et à la drogue, Thick Kevin, qui possède l'intelligence la plus microscopique du monde ; On-the-Hour John, le chroniqueur des actualités, et Angus "The Nut" Nutsford, qui est sans doute l'homme le plus agaçant d'Angleterre... La vie en mer du Nord est riche en événements...



J'ai vraiment apprécié dans ce film le rapport au rock'n'roll, au vinyle, à la liberté... Et on se rends bien compte qu'aujourd'hui les allers-retours ou même les marches arrières sur le sujet sont nombreux...
Sinon, je ne polémiquerais  pas d'avantage hein, ce ne sera pas mon propos ici.
C'est vrai que lorsque l'on voit ce qu'est devenue la bande FM aujourd'hui... On se demande toujours pourquoi tant de batailles pour finir dans le mainstream, la pub et le pognon... 
Je voulais juste partager "un bon moment" avec vous, en ces temps d'amertume et de tristesse...

Ce film est plutôt "grand public" ce qui n'est pas une tare en soi. Je suis sur que beaucoup des lecteurs de ce blog pourraient témoigner de leur premier émoi radiographique ou musical...  
VOSTFR en qualité optimale ici.

Bon film !
Part 1


Part 2 :

Part 3 :


Part 4 :


Part 5 (fin) :


Les dj's de Radio Caroline, 30 ans après...

Radio Caroline, la vraie :




dimanche 16 novembre 2014

Cry Baby, sans effets de manche !

ELVIS : Love me / Relax


Cry-Baby  est un film musical américain, réalisé par John Waters, sorti en 1990. Les acteurs principaux en sont Johnny Depp et Amy Locane. Il reprend sur le mode parodique le thème de Roméo et Juliette, de West Side Story et de Grease : il conte l'histoire d'amour contrariée de deux adolescents appartenant à des clans ennemis.
 L'histoire : Un mauvais garçon, Wade alias Cry-Baby, moins féroce qu'il ne cherche à le paraître, tombe éperdument amoureux d'une jeune fille on ne peut plus respectable. Méchamment repoussé par l'establishment, pourchassé par la police, humilié, lui qui semait le mal ne tarde pas à découvrir les tragiques extremités auxquelles la passion peut conduire. Acteurs principaux  : Johnny Depp, Amy Locane, Susan Tyrrell, Ricki Lake, Traci Lords, Polly Bergen et  Iggy Pop
Une partie des acteurs principaux

Evidemment que quand ce film est sorti, je me suis précipité au cinéma !
Iggy pop et Traci Lords dans le même film... Pensez vous !
Moi qui avait craqué sur Divine dans Pink Flamingos...
Il me semble bien que c'est en plus la révélation de Johnny Depp... 

 John Waters

Film en VOSTFR pour nos ami(e)s étranger(e)s qui passent par ici et en 5 parties pour une qualité acceptable... Enjoy !



Part 1 :



Une affaire de famille

Part 2 :

Johnny Depp
Part 3 :

Le casting presque complet du film

Part 4 :

La belle et la bête

Part 5 :


mardi 28 octobre 2014

Le Mans, l'autre film "vroom vroom" de McQueen

THE LAZY COWGIRLS : "When it comes to you i've got no dreams to lose"

L'histoire : Michael Delaney, pilote automobile, se prépare à courir les 24 Heures du Mans et à affronter Stahler, son rival allemand. Au même moment, il tombe amoureux de Lisa, l'épouse de son coéquipier décédé... 

A une époque où il est devenu mal vu d'avouer son intérêt pour les engins mécaniques brulant du combustible ou faisant du bruit, j'avais envie de revenir sur ce monument et cet ode aux sports mécaniques que demeure ce film, sorti en 1971.
Steve Mc Queen y tient un rôle, évidemment, de coureur automobile plutôt taillé sur mesure, lui qui a toujours été épris de vitesse, que cela soit à moto ou en voiture.
Le film, qui repose sur un scénario plutôt mince, possède un style proche du documentaire qui peut  en dérouter plus d'un. Mais la qualité des prises de vue et la sensation de vitesse que le réalisateur fait partager, on oublie vite d'en vouloir au comédien rendu célèbre par ses rôles dans Bullitt ou La grande évasion de nous avoir embarqué dans cette aventure.
De fait, on s'enfile le film d'une traite. J'ai ce souvenir ému du gamin que j'étais qui, après avoir vu ce film, ne souhaitais plus louper aucune course de bolides à la télé, sacrifiant ainsi à la ballade familiale et dominicale en 4L, prêt à me rouler par terre en cas de refus...
Ensuite, ce fut les collections de bouquins photos voués à la cause qui se transformérent par la suite en amour des belles bagnoles...


 Voici le film en vostfr (mais y'a pas trop de dialogues hein !) en 5 parties pour une qualité acceptable par ici.
 Enjoy !

Part 1

Part 2 :


Part 3 :

L'une des voitures du film

Part 4 :



Sur le tournage...

Part 5  (fin) :

Différentes affiches du film :







mercredi 17 septembre 2014

En attendant Neat #38, si on dansait ?





James Brown : Devil's den (1963)





Wikipédia rules ! "James Joseph Brown Jr., né le 3 mai 1933 et mort le 25 décembre 2006, est un musicien, chanteur, auteur-compositeur, danseur et producteur américain. Un des initiateurs du funk, il est fréquemment surnommé The Godfather of Soul. Tout au long d'une carrière qui a couvert six décennies, Brown est l'une des figures les plus influentes de la musique populaire du XXe siècle et est réputé pour ses performances scéniques.
Après une période de prison pour cambriolage, Brown commence sa carrière comme chanteur de gospel en Géorgie avant d'intégrer et de devenir la figure de proue d'un groupe de R&B vocal (The Famous Flames). Brown accède à une notoriété nationale à la fin des années 1950 avec des ballades comme Please, Please, Please et Try Me et se bâtit une réputation d'inlassable performeur scénique. Brown connaît son apogée dans les années 1960 avec des succès colossaux (Papa's Got a Brand New Bag, I Got You (I Feel Good) et It's a Man's Man's Man's World). À la fin des années 1960, Brown modifie son approche musicale, passant d'un mix musical fondé sur le blues et le gospel vers une approche africanisée qui jette les bases et ouvre la voie au développement de l'ensemble du courant funk. Au début des années 1970, Brown a totalement établi le son du funk après la formation des The J.B.'s avec des disques comme Get Up (I Feel Like Being a) Sex Machine ou The Payback. Brown est également remarqué pour des titres à commentaire social, notamment avec le single Say It Loud - I'm Black and I'm Proud en 1968. Brown a continué à se produire et enregistrer jusqu'à son décès en 2006.
Brown détient le record de l'artiste ayant placé le plus grand nombre de singles au sein du Billboard Hot 100 sans avoir jamais atteint la 1ère place du classement. Il a toutefois classé 17 de ses titres à la première place des « R&B charts ».
Il aura notamment inspiré de futures célébrités dans l'histoire de la danse, dont le célèbre chanteur et danseur Michael Jackson."

Je rajouterais aisément Iggy Pop et surtout Mick Jagger qui est d'ailleurs l'un des producteurs du biopic qui va sortir sur James Brown :


Je me rappelle le début des 90's, la sortie de ce coffret (cd uniquement !) magique (1991) "Star time" et des trésors qu'il renfermait. Une époque où l'on essayait tous de remonter le filon, de gratter sous le vernis populaire de certains artistes ou groupes. Et ce coffret était une nouvelle porte pour aller chercher une autre porte... Ce qui venait en contrepoint de ce reportage vu sur les nuits parisiennes où deux jeunes femmes, se prenant surement pour les reines de la nuit et de la fête avaient déclaré : "Aujourd'hui si on est dans une fête, et qu'on doit se taper du James Brown, de façon systématique, on se barre"...


Certes, ce "Sex Machine"  fameux pourtant, mais entendu à tour de bras (notamment par l'entremise de cher Manoeuvre, tiens encore lui) et cité comme quasi unique référence du grand Monsieur avait de quoi agacer, peut être. Il aura fallu attendre la fin des 90's et le début des années 00's pour entendre d'autres morceaux, à travers la pub (qui devient à ce moment là, popularisatrice de musique, y compris pour le rock'n'roll). Peut être un effet "Tarantino" et un retour de ses films tournés comme des spots publicitaires (ça cogne, vite, bien, ça reste gravé dans la tête sans qu'on s'en rende forcément compte).



Je me rappelle aussi ce concert en 1996, où le seigneur avait décontenancé plus d'un  présent (normal c'était un de ces festivals fourre-tout qui vont devenir la plaie des années 00's...) car James Brown n'était apparu qu'au bout de dix minutes de "mise en jambes" de ses musiciens et choristes. J'étais le seul (?) à l'avoir perçu, c'était un show joué façon revue soul des 60's... Mais ça peu le savait... Tout comme le contenu de son concert, nourri de morceaux plus obscurs, plus difficiles d'approche, moins tubesques... Bref, l'incompréhension totale... "trop vieux", "se prends pour une star", "se fait désirer","il fait du jazz maintenant ?", "tout ça pour ça" avais-je pu entendre dans les différents commentaires...
Le concert que je vous propose ici n'est pas très éloigné de ce que j'avais pu voir cette année là. Sauf que Mister Dynamite a misé sur les tubes, sur ce coup là ! Il date de 1999 et il a été enregistré à Las Vegas mais n'est sorti qu'en 2000. Le public présent me fait un peu penser au concert de Jacques Dutronc, le show aussi d'ailleurs (ambiance revue).

Le tracklisting du concert est :
1    Get Up Offa That Thing
2    Gonna Have A Funky Good Time
3    Living In America
4    Popcorn
5    Soul Power
6    Soul Man
Vocals – Roosevelt Johnson
7    I Got That Feeling
8    Hot Pants
9    Try Me
10    Prisoner Of Love
11    Georgia On My Mind
12    If I Ruled The World
13    Why Don't You Do Right
    Vocals – Candice Hurst
14    Papa's Got A Brand New Bag
15    Funk On A Roll
16    Payback
17    I Feel Good
18    Papa Don't Take No Mess
19    Please Please Please
20    Sex Machine
21    I Still Care
    Vocals – Tomi Rae
22    Try
    Vocals – Tomi Rae  


INTRO :

Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Final :



Et pour finir sur le sujet, un reportage en VOSTFR sur le monsieur, qui complète bien cet article et prépare bien au visionnage du film biopic qui va sortir...

Part 1 :


Part 2 :


Part 3 :

Part 4 :




dimanche 24 août 2014

Rock'n'Roll HighSchool en VOSTFR... Oui c'est possible.


The Ramones : "SLUG" (demo)


Les lecteurs francophones de ce blog peuvent remercier Nicolas Hernandes pour la traduction de chef d'oeuvre dont la Version Originale et un semblant d'historique se trouve ici.

Même si la trame du film en VO n'est pas très compliquée à suivre, un petit sous-titrage reste le bienvenu.
L'accent américain et l'argot qu'il déverse par moment reste parfois incompréhensible.
La traduction est bien foutue, entendre de parler de CD's en 1980 ;-) est plutôt marrant.
(La seule erreur décelée ici)
Mais cela demeure un sacré boulot !
J'en ai un peu bavé pour retranscrire le tout ici, mais le jeu en valait la chandelle, n'est ce pas !

Bon film !

Part 1 :

Part 2

Part 3 :

Part 4 :