dimanche 18 août 2013

Sid And Nancy, presque vrai.

Sorti en 1986, ce film d'Alex Cox se veut l'histoire du couple emblématique de l'auto destroy du punk rock originel anglais. A l'époque, le mythe était encore bien vivace, une bonne raison d'exploiter le filon ou de rendre tout simplement hommage...
 Voici donc la tragique histoire de Sid Vicious, 1er fan des Pistols puis bassiste par complaisance et de  Nancy Spungen, groupie junkie des Dolls puis de Johnny Thunders débarquant de NYC à la recherche d'un groupe à aduler. 
Mal aimée à NYC, car plutôt nuisible pour son entourage si on en croit Philippe Marcadé dans son excellent  livre "Au delà de l'avenue B"  qui lui a d'ailleurs conseillé de quitter la grosse pomme pour Londres. (Merci du cadeau au passage !) Plus que Johnny Thunders, dont Sid était ultra fan, c'est bien elle qui lui mettra le bras dans la méchante dope. C'est bien elle qui lui fera croire que la seule star des Pistols c'est bien lui...
Ne les ayant pas connu personnellement, je ne suis pas Eudeline, il me semble que ce film n'égratigne pas forcément l'image de Sid ni celle de Nancy... D'après tout ce que j'ai pu en lire, les personnalités ne semblent pas si éloignées.

Le film est évidemment une vision très romancée de leur histoire, même si plusieurs anecdotes vraisemblablement véritables sont mises en images.

 On retrouve même cette histoire de tabassage de Nick Kent (ici avec Chrissie Hynde) par Sid Vicious sous la houlette de Malcom Mc Laren... (qui aime bien châtie bien)

Hormis Nancy et Sid, les autres Pistols ne sont guère ressemblants, sauf peut être Johnny Rotten un peu trop ciblé "pantin punk". Steve Jones et Paul Cook sont peu présents dans le film.


Le jeu de Gary Oldman est exceptionnel, tant il arrive à mimer les tics et attitudes de son personnage.. 
A part Lui, je ne connaissais que Billy Idol à savoir le faire...
;-p

Aaaaarg, retourne dans ta génération X malheureux !


Quand à Chloe Webb, elle chope parfaitement le rôle de la pétasse dangereuse, manipulatrice et destructrice. Ce qui doit être dur à voir pour l'entourage proche  de Nancy encore de ce monde...
L'ex petite amie de Kurt Cobain, Courtney Love,  apparaît dans le film.
Belle inspiration pour le futur...


Mais bon, c'est un film, tout doit finir bien...
L'important étant de démontrer qu'il s'agissait là d'une véritable histoire d'amour.
 Le look des "punks" présents sans le film est un savant mélange de ce qui existait à l'époque et de ce que l'on trouvait plutôt dans les 80's. Perfecto anglais à doublure rouge (et zip sur le bras) plutôt que Perfecto Schott pour Sid... Mais on en voudra pas à Alex Cox de vouloir jouer sur un patriotisme de fringues vu qu'il est vrai que les punks anglais ont beaucoup appuyé sur les détails...

Le Film est en français... La musique a été confié à Joe Strummer et aux Pogues entre autres.

Enjoy yourself.


Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Part 4 :

Comble de la stupidité mercantile, certains n'ont pas hésité à vendre des lp's au nom des deux amoureux destroy...

Bonus :

Hormis la bande annonce du film, le DVD est assorti d'une conversation sur le film, la période et les personnages qu'il évoque entre 3 journalistes...
Evidemment, c'est Eudeline qui tire son épingle du jeu, les deux autres étant, comme d'hab' oserais-je, assez navrants (Géant je te préférais dans tes écrits fanzineux !) D'ailleurs j'ai trouvé cette critique du bonus assez parlante : "Sur ce coup StudioCanal n'a pas fait très fort puisque l'éditeur ne nous offre que 27 (?!? chez moi c'est + de 39 et c'est bien assez !) mn de discussion à bâtons rompus entre 3 journalistes français : Philippe Manoeuvre (Redac chef de Rock&Folk), Patrick Eudeline (fondateur d'Asphalt Jungle, collaborateur à Rock&Folk) et Géant Vert (journaliste, musicien, auteur d'une bio des Sex...). Tous reparlent du film, de l'esprit punk et les informations qu'ils nous délivrent sont assez intéressantes. Cependant alors que Manoeuvre essaie de faire avancer le débat, il est assez gonflant de voir ce blaireau de Géant Vert, qui sous une diction assez pompeuse et prétentieuse, se regarde largement le nombril tout occupé qu'il est à nous sortir des infos d'une platitude navrante. On aurait donc aimé des bonus un peu plus étoffés (dommage de ne pas avoir inclus le clip original de My Way) que cette simple discussion et la BA du film." (http://www.dvdpascher.net/)

J'ai coupé à 3 minutes de la fin, évitant les délires gonflants sur Courtney love... 
Ha, ce réflexe Rock'n'folkien...








28 commentaires:

emmanuelboisbunon a dit…

J'ai passé une bonne partie de mon dimanche à revoir ce film....l'avais vu en version originale.Je ne peux pas dire dans quelle version les jérémiades de Nancy sont plus supportables.
Quant à Billy wééé retourne dans ta génération X !

Chris Damned a dit…

Merci Emmanuel.
Billy, punk bronzé et bodybuildé, ça le fait pas....

Chris Damned a dit…

Et à chanter de la daube FM en plus...

emmanuelboisbunon a dit…

Retourne danser avec toi même dans ta BX Billy !

pascal arcade a dit…

... vu 2 fois, la première j'ai trouvé ça sympa, la deuxième je suis parti avant la fin ... mais bon, romance il y a eu, et ça c'est terrible ... l'héro rend abruti, mais qui n'a pas envie de faire des expériences quand il en a l'occasion ? ... j'ai eu la chance de rencontrer des amis qui m'ont démotivé, certains en sont morts ... et des dealers de mauvaise came, les fumiers (heureusement je payais pas, de toute façon je pouvais pas) ... dans la dégueulasserie que tu peut rencontrer parfois dans la vie, il y a des évènements qui déclenchent des attention ? ... ou tu va la ? .. ça doit être ça la fameuse "croisée des chemins" ... quand j'irais en thailande, je dis pas que je testerais pas la qualité ... je f'rais gaffe, je promet ...

Professor BeeB HôPô a dit…

T'as la dent un peu dure avec Géant Vert ! Son bouquin sur le punk en 45 tours (Blitzkrieg) n'est pas mal du tout. De même celui sur les Pistols. Pour le reste, t'es vraiment sûr que c'est Chrissie Hynde avec Nick Kent sur la photo plus haut. On la reconnait pas du tout ! Ouèche !!!!

Chris Damned a dit…

Je parle de géant vert surtout à travers ses articles dans R & F... Et je n'apprécie pas vraiment sa prestation dans le doc.
Pour ses bouquins j'en sais rien, pas envie de les lire...
Et je n'ai jamais été fan de Parabellum... Désolé.

Quand à Chrissie Hynde, elle est très jeune sur la photo et oui, c'est bien elle...

Anonyme a dit…

probleme de copinage peut etre
il ya surement des journalistes francais capable de parler de cette periode et du punk
mais comme souvent obliger de taper dans le lourd
ou le lard de tout saloper en quelques mots

VAlery

Chris Damned a dit…

... Et surtout de se la péter grave sans parler des choses simplement... Syndrome parisiano-parisien sans doute...

Unknown a dit…

Film brillant pour une époque qui l'était moins. Épopée ordinaire, drogues, oisiveté, boredom et une bonne dose de rock fin de siècle. Tout cela et plus transcendé par le jeu des acteurs, sublimes. j'ai été punk, fan de Sid pour ce qu'il représentait d'illusions avortées, d'autodestruction teintée de romantisme sordide.

Chris Damned a dit…

... Ouais, le meilleur truc qui collait à l'ambiance adolescente ! Merci pour ton commentaire !

Unknown a dit…

Merci pour ce lieu où j'ai eu plaisir à atterrir par hasard! Les plus grandes choses vous arrivent par hasard : la naissance et la mort entre autre!

Chris Damned a dit…

J'espère que tu trouveras de quoi te faire plaisir ! ;-)

Hervé a dit…

Le livre de géant vert sur les Pistols est gavé d'erreurs, mais comme c'est Môssieur Rock & Folk ex-Parabellum, la plupart des gens pensent que c'est une bible, une mine d'or (en plus, Manoeuvre en avait fait des caisses d'éloges à sa sortie, comme on peut l'imaginer). Le chapitre sur les bootlegs est à la rue, en partie copié sur "Hot Wacks", avec les mêmes infos erronées quant à la qualité sonore de certains disques que l'auteur n'a pas écouté. L'histoire du groupe est pompée sur "Day By Day" de Lee Wood, erreurs comprises (et Monsieur Vert a le culot de descendre ce livre à la fin du sien, alors qu'il lui a servi du début à la fin...On croit rêver). Qu'on le retrouve ici se regarder le nombril tout en se gargarisant ne me surprend pas une seule seconde. Je garde un souvenir "ému" de quelques jours passés en sa compagnie tant le personnage est pompeux, ennuyeux, et convaincu de détenir la vérité absolu en matière de Pistologie...Il paraît qu'il prévoit de sortir un livre sur la "vraie" histoire (wouahou, j'en salive d'avance) du couple Sid & Nancy, avec des infos "ultra confidentielles" sur les raisons de la mort de Nancy bla bla bla. Je sens qu'on va encore se marrer cinq minutes (j'imagine déjà le super scoop sur les dimensions et le modèle du couteau ayant servi à tuer la groupie junkie, avec en prime un dossier "top secret" de la police du New York sur la marque du slip de Sid lors de son arrestation). Vivement que ça sorte, j'ai besoin de rire.
Quant au film d'Alex Cox, désolé, je ne l'ai jamais aimé. J'ignore pourquoi. Peu importe, on en pense ce qu'on veut après tout, c'est toujours mieux que les éternels témoignages à deux balles de Patrick "j'y étais" Eudeline. Ce qui est drôle c'est la scène où Monique Kent se fait passer à tabac par le vicieux. Ce serait un peu exagéré si on en croit certaines sources et témoignages, et totalement erroné quant à la présence de McLaren (toujours d'après certains). En fait le vicieux aurait été accompagné de Jah Wobble et ce serait Wobble qui aurait véritablement mis une tannée au super-héro de la critique rock tant le vicieux ne savait pas se battre (rappelons qu'il a pris une belle danse par Weller la même année). Wobble et Sidney s'en serait pris à Kent pour des raisons de mauvaise publicité et mauvaise critique que ce dernier aurait fait aux Pistols (rappelons qu'il a fait un très court passage dans le groupe et qu'il en est parti plus ou moins de son plein grès, mais plutôt moins que plus contrairement à ce qu'il raconte). A ce propos, Monsieur Zermati aime conter à qui veut l'entendre que Sid était envoyé par son manager pour frapper l'as du NME, mais on peut douter de ces propos tant monsieur Skydog déteste les Pistols depuis leurs débuts et essaie, chaque fois qu'il le peut, de dévaloriser le groupe en le faisant passer pour la marionnette du "grand chef d'orchestre" Malcolm McLaren (c'est à ce moment là qu'on peut rire tellement c'est gros). Bref, d'un côté (les anti-Pistols comme Zermati) comme de l'autre (les pro-Pistols comme Eudeline et Géant vert) on s'ennuie tant la fable est lourde et indigeste. No Fun, my babe, No Fun.

Chris Damned a dit…

Je comprends tout à fait que le film ne puisse pas plaire. Perso, je ne l'ai jamais pris au sérieux vraiment et surtout pas pour une "vérité" sur le pauvre Sid. J'avais été juste sensible à sa sortie, car peu de films existaient sur le sujet à lépoque, et je trouvais la reconnaissance du punk intéressante à travers lui... Le côté nihiliste et auto destructif me plaisait bien aussi, persuadé, encore jeune, que moi aussi je ne ferais pas de vieux os (pourquoi, j'en sais rien ! peut être ce penchant pour la bouteille que j'ai toujours su maîtriser malgré tout) Aujourd'hui, il me fait plutôt penser à la version pathétique et parodique des Pistols (Sex Pistols experience, je crois) qui existe à Londres... On fait "comme si", on a pas peur du ridicule (attention, je ne prône pas la sériosité !) et après nous le déluge... Ce n'est pas un document, peut être juste un film "anti dope" qui essaye de ne pas mettre l'usage de celle ci du côté "romantique" du truc... Perso, j'ai toujours détesté être accro à quoi que ce soit... C'est pourquoi je ne fume même pas de tabac depuis toujours ! (Sauf quand j'ai picolé mais ça c'est autre chose...) Franchement, les trois cocos apparaissant dans la chronique du film sont pathétiques, de suffisance, de croyance et de médiocrité ! On a tous son expérience punk, on a pas à revendiquer plus tel ou tel truc... Il ne faut pas oublier que c'est avant tout une révolution musicale. C'est vrai que les JAM tapaient fort... Mais l'époque était dure aussi ! Peu de punks aujourd'hui ont à défendre leur point de vue dans la rue... alors que même début 80's, c'était courageux de sortir à chaque fois... Et je te parle pas de la confusion avec la croix gammée de Sid, justement, à expliquer aux potes maghrébins !!! Bref, tout ce côté "historique" me gonfle aujourd'hui, chacun y allant de sa petite histoire, vécue ou pas... R&F ressort un "spécial punk" pour la énième fois... Rien que ça, ça donne une idée du niveau de récupération. Merde ! Tout ce que je conseillerais aux plus jeunes aujourd'hui, c'est essayer de toujours aller voir "ailleurs", pas ce que on peut leur servir sur un plateau... Le punk, pour moi, c'est toujours ça ! Merci pour ton commentaire et excuse mon propos plat et décousu...

Hervé a dit…

Le hors série spécial punk de REock & Folk, oh oui, parlons-en justement ! J'avais le hors série précédent avec la même couverture, en jaune. On m'a prêté le nouveau (avec la couverture rose, que c'est original, my god !). Le top du top est le chapitre sur la mode punk d'Isabelle Chelley. On ne peut pas lui en vouloir, la pauvre, elle est inculte en la matière. Le simple fait de lire que McLaren prend en main le destin d'un de ses vendeurs, Glen Matlock, est à peu près aussi crédible que les déclarations de Darquier à propos du gazage des poux à Auschwitz... Pour te donner une idée du niveau. L'intelligentsia du rock me gave de plus en plus. Ces petites crottes de toutous adeptes de la pensée unique sont pathétiques. La prochaine révolution musicale devra s'en prendre ouvertement aux journaleux qui non seulement déforment l'histoire mais en plus trouve ça "trop cool" de le faire. Je les vomis matin midi et soir.
Merci encore pour ton Neat neat Neat cher Chris, keep on rockin' et à bientôt. ;-)

Hervé a dit…

J'allais oublier: 100% d'accord avec toi sur l'aspect parodique du film. En fait, je crois que c'est ça qui transparaît et ne me plaît pas. Et effectivement, c'est du Sex Pistols Experience dans le look et le reste (entre autres baltringues genre "The Pistols" et "Sus-Sex Pistols"). Ce pauvre groupe d'imitateurs ne vaut décidément rien. C'est tellement pathétique....No Future.

Chris Damned a dit…

Hum, disons qu'avec le recul, c'est bien le "No Future" qui aurait mieux servi le punk rock si la maxime avait été réellement mise en application... Quand on voit aujourd'hui tous ces "revival" qui ne veulent plus rien dire, on s'emmerde ferme... Et je ne parle pas du "punk FM" mis en place par tous les revivalistes des 90's qui ramène le punk à de la zik de baluche pour ados attardés... Fuck off !!

Chris Damned a dit…

Isabelle Chelley devrait plutôt forcer son rédac'chef a faire un spécial CRAMPS, elle qui est fan depuis toujours. Et puis au moins, ce canard ressemblerait enfin à un mag rock'n'roll !

Hervé a dit…

Certes au lieu de nous les (re) briser avec leurs leçons sur le pounk, un hors-série consacré à un groupe devrait en réjouir plus d'un.
A propos des Cramps, as-tu "Cramped" le livre + EP sur les bootlegs du groupe et celui d'Alain Feydri?

Pour ce qui est du No Future, la chose a tellemement été mise à toutes les sauces qu'on ne sait plus à quel punk se vouer ;-)

A+

Chris Damned a dit…

je l'attends d'un jour à l'autre ce "cramped" !!! Et le livre d'Alain est dans ma wishlist... Mais y'a tellement de bons trucs qui sortent côté bouquins et skeuds...
Tu sais que je ne passe ici que des trucs que je possède physiquement...

Hervé a dit…

Oui, je sais. Nous attendrons donc que tu aies lu le livre d'Alain Feydri et le "Cramped" pour (je l'espère) avoir le plaisir de lire un Neat Neat Neat sur la question ;-)

Chris Damned a dit…

Oh je ne ferais pas spécialement trop de commentaires sur le sujet par ici.
Le EP "Cramped" figurera surement en bonne place dans le Neat Show...
Kizmiaz, le label nantais sortant la chose est chaudement recommandé à tous.

Pop Barth' a dit…

Je ne suis pas d'accord avec vous au sujet de Géant Vert. J'ai passé plusieurs jours en sa compagnie exclusive et j'ai trouvé le gaillard plein d'humour, érudit avec un sens de l'observation et de la métaphore très pointu. Ce gars a du vécu,il se situe à des années lumières des branchouillés style Inrocks.

Chris Damned a dit…

érudit, on l'espère un peu, vu qu'il est payé pour ça depuis un moment... Et qu'il revendique, lui aussi, une place dans l'histoire du rock, du moins hexagonal.
Je n'ai pas lu sa bio des Pistols et je n'en ai pas envie. Je me méfie trop des livres R&F. Ce mag qui s'enflamme à la moindre hype...
Je ne remets pas l'individu en cause (le commentaire sur le bonus n'est pas de moi) mais franchement ce qu'ils donnent à voir tous les 3 ne correspond pas du tout à l'image du rock'n'roll ou du punk telle que je l'ai pratiqué ou je le pratique... Merci pour ton commentaire, je le répète, qu'ils soient positifs ou négatifs, ils sont toujours bienvenus.

Pop Barth' a dit…

D'accord. Je respecte ton point de vue.N'oublions quele Géant à bien sabré l'album Broddy Dalle dans le R&F de juin, ce qui prouve qu'il écoute les disques avant de chroniquer contrairement à certains à R&F comme aux Inrocks. Je trouve le livre de Géant Vert sur les Pistols bien écrit, amusant à lire (on ne peut lui reprocher d'avoir dévoré No Irish, No Black, No Dogs). Tu devrais y jeter un oeil.Idem au sujet de Blitzkrieg. Enfin, je déplore le vide en matière de littérature rock au sujet du DAMNED. Pour ce qui est des STRANGLERS, il faut faire l'effort de lire l'anglais mais ça vaut le coup (Hugh CORNWELL: "Song by song").

Chris Damned a dit…

Je regarderais tout cela dés que possible, en suivant ton conseil. Oui, c'est vrai, les DAMNED mériteraient bien un biopic sur leur premières années et leur participation au barouf punk. Même un mag comme R&F n'a jamais fait de vrai papier sur le groupe, alors que ceux sur Pistols ou Ramones sont légion... Pourtant pour moi musicalement et niveau attitude, ils demeurent le symbole de ce mouvement sincère à la base. Bienvenu(e?)par ici en tous les cas et n'hésites pas à intervenir...

Pop Barth' a dit…

Merci, pas de problème. O.K pour The DAMNED, j'aime beaucoup ce groupe mais je n'ai vu que Brian James sur scène avec les Lords of the New Church à Clermont-Ferrand en 1984, jamais The DAMNED.