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dimanche 1 février 2015

Walk the line, mais reste toi-même


En retraçant le destin du chanteur country-rock Johnny Cash, Walk the line évoque la naissance d'un nouveau style d'artiste, celle d'un homme qui au-delà de ses colères, des ravages de la dépendance et des tentations du statut de star, a tout dépassé pour devenir une icône.
C'est aussi le parcours d'un homme qui, du fond de la période la plus noire de sa vie, a été porté par une histoire d'amour fusionnelle avec June Carter. Leur passion a nourri son art tout au long de sa vie.
Cette saga est marquée par les thèmes qui feront la force de la musique de Cash et
de son style minimaliste : la mort, l'amour, la trahison, le péché, l'espoir et la foi.

Johnny Cash dans NeatX3, vous n'y aviez pas pensé, mais c'est arrivé !
Ma rencontre avec Johnny Cash s'est faite sur le tard, après avoir acheté un coffret de ses enregistrements SUN en fait, il y a plus de 10 ans... (il n'est jamais trop tard pour...) Et autant commencer par le début.
A ce moment là, je pense qu'avec tout ce que j'avais pu lire sur le bonhomme, cela m'avait donné envie de passer le pas vers l'homme en noir sans m'étrangler (vous m'avez compris, hein)
Cela coïncidait en plus avec la sortie d'un film beau comme un diamant noir (encore) et magistralement interprété. J'ajoute que les acteurs principaux chantent réellement les morceaux du film... 
Oubliez Jerry Lee, Roy Orbison ou Elvis qui sont singés dans le film, ne vous concentrez que sur ce couple magique... La force de l'amour et de la musique dans Neat neat neat ! Les bondieuseries, bah...

Film découpé en six morceaux pour une bonne qualité d'image et de son (!!) en VOSTFR.
Bon film

Joaquin Phoenix complétement Cash
Part 1 :


Johnny et June, les vrais
Part 2


Part 3 :


Part 4 :

Part 5 :


Part 6 (final) :


Reese Witherspoon et Joaquin Phoenix, remarquables

mercredi 17 septembre 2014

En attendant Neat #38, si on dansait ?





James Brown : Devil's den (1963)





Wikipédia rules ! "James Joseph Brown Jr., né le 3 mai 1933 et mort le 25 décembre 2006, est un musicien, chanteur, auteur-compositeur, danseur et producteur américain. Un des initiateurs du funk, il est fréquemment surnommé The Godfather of Soul. Tout au long d'une carrière qui a couvert six décennies, Brown est l'une des figures les plus influentes de la musique populaire du XXe siècle et est réputé pour ses performances scéniques.
Après une période de prison pour cambriolage, Brown commence sa carrière comme chanteur de gospel en Géorgie avant d'intégrer et de devenir la figure de proue d'un groupe de R&B vocal (The Famous Flames). Brown accède à une notoriété nationale à la fin des années 1950 avec des ballades comme Please, Please, Please et Try Me et se bâtit une réputation d'inlassable performeur scénique. Brown connaît son apogée dans les années 1960 avec des succès colossaux (Papa's Got a Brand New Bag, I Got You (I Feel Good) et It's a Man's Man's Man's World). À la fin des années 1960, Brown modifie son approche musicale, passant d'un mix musical fondé sur le blues et le gospel vers une approche africanisée qui jette les bases et ouvre la voie au développement de l'ensemble du courant funk. Au début des années 1970, Brown a totalement établi le son du funk après la formation des The J.B.'s avec des disques comme Get Up (I Feel Like Being a) Sex Machine ou The Payback. Brown est également remarqué pour des titres à commentaire social, notamment avec le single Say It Loud - I'm Black and I'm Proud en 1968. Brown a continué à se produire et enregistrer jusqu'à son décès en 2006.
Brown détient le record de l'artiste ayant placé le plus grand nombre de singles au sein du Billboard Hot 100 sans avoir jamais atteint la 1ère place du classement. Il a toutefois classé 17 de ses titres à la première place des « R&B charts ».
Il aura notamment inspiré de futures célébrités dans l'histoire de la danse, dont le célèbre chanteur et danseur Michael Jackson."

Je rajouterais aisément Iggy Pop et surtout Mick Jagger qui est d'ailleurs l'un des producteurs du biopic qui va sortir sur James Brown :


Je me rappelle le début des 90's, la sortie de ce coffret (cd uniquement !) magique (1991) "Star time" et des trésors qu'il renfermait. Une époque où l'on essayait tous de remonter le filon, de gratter sous le vernis populaire de certains artistes ou groupes. Et ce coffret était une nouvelle porte pour aller chercher une autre porte... Ce qui venait en contrepoint de ce reportage vu sur les nuits parisiennes où deux jeunes femmes, se prenant surement pour les reines de la nuit et de la fête avaient déclaré : "Aujourd'hui si on est dans une fête, et qu'on doit se taper du James Brown, de façon systématique, on se barre"...


Certes, ce "Sex Machine"  fameux pourtant, mais entendu à tour de bras (notamment par l'entremise de cher Manoeuvre, tiens encore lui) et cité comme quasi unique référence du grand Monsieur avait de quoi agacer, peut être. Il aura fallu attendre la fin des 90's et le début des années 00's pour entendre d'autres morceaux, à travers la pub (qui devient à ce moment là, popularisatrice de musique, y compris pour le rock'n'roll). Peut être un effet "Tarantino" et un retour de ses films tournés comme des spots publicitaires (ça cogne, vite, bien, ça reste gravé dans la tête sans qu'on s'en rende forcément compte).



Je me rappelle aussi ce concert en 1996, où le seigneur avait décontenancé plus d'un  présent (normal c'était un de ces festivals fourre-tout qui vont devenir la plaie des années 00's...) car James Brown n'était apparu qu'au bout de dix minutes de "mise en jambes" de ses musiciens et choristes. J'étais le seul (?) à l'avoir perçu, c'était un show joué façon revue soul des 60's... Mais ça peu le savait... Tout comme le contenu de son concert, nourri de morceaux plus obscurs, plus difficiles d'approche, moins tubesques... Bref, l'incompréhension totale... "trop vieux", "se prends pour une star", "se fait désirer","il fait du jazz maintenant ?", "tout ça pour ça" avais-je pu entendre dans les différents commentaires...
Le concert que je vous propose ici n'est pas très éloigné de ce que j'avais pu voir cette année là. Sauf que Mister Dynamite a misé sur les tubes, sur ce coup là ! Il date de 1999 et il a été enregistré à Las Vegas mais n'est sorti qu'en 2000. Le public présent me fait un peu penser au concert de Jacques Dutronc, le show aussi d'ailleurs (ambiance revue).

Le tracklisting du concert est :
1    Get Up Offa That Thing
2    Gonna Have A Funky Good Time
3    Living In America
4    Popcorn
5    Soul Power
6    Soul Man
Vocals – Roosevelt Johnson
7    I Got That Feeling
8    Hot Pants
9    Try Me
10    Prisoner Of Love
11    Georgia On My Mind
12    If I Ruled The World
13    Why Don't You Do Right
    Vocals – Candice Hurst
14    Papa's Got A Brand New Bag
15    Funk On A Roll
16    Payback
17    I Feel Good
18    Papa Don't Take No Mess
19    Please Please Please
20    Sex Machine
21    I Still Care
    Vocals – Tomi Rae
22    Try
    Vocals – Tomi Rae  


INTRO :

Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Final :



Et pour finir sur le sujet, un reportage en VOSTFR sur le monsieur, qui complète bien cet article et prépare bien au visionnage du film biopic qui va sortir...

Part 1 :


Part 2 :


Part 3 :

Part 4 :




samedi 24 mai 2014

RUNAWAYS, Movie it !

The Runaways, les vraies !

... Celles du film sont très crédibles !

Los Angeles, 1975. Joan Jett et Cherie Currie, deux adolescentes rebelles, se rencontrent et deviennent les figures emblématiques de ce qui se révélera être le plus célèbre des groupes de glam rock féminin, les Runaways. Après une irrésistible ascension dans une Californie en ébullition créative, ces deux jeunes stars légendaires vont ouvrir la voie aux générations futures de femmes musiciennes. Sous l’influence de leur imprésario, l’excentrique Kim Fowley, le groupe va vite s’imposer et déchaîner les foules. Au-delà d’une trajectoire unique, voici l’histoire vraie de jeunes filles qui en se cherchant, vont toucher leurs rêves et changer la musique pour toujours. 

Ce film bien foutu mérite d'être dans votre collec'. Le rock'n'roll est bien présent, les acteurs sont plus vrais que nature (mention spéciale à Kim Fowley !!) et malgré les apparences de certaines critiques, il ne sonne pas trop "people" et ne donne pas dans le misérabilisme...

Bon film !

Floria Sigismondi, 2010

Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Part 4 :



MENSEN "Wembley"
Mensen  :
Mary Currie
Christine Ford
Lars Fox
Tiny West


Joan Jett is a Queen !!!!


L'affiche originale du film