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mercredi 17 septembre 2014

En attendant Neat #38, si on dansait ?





James Brown : Devil's den (1963)





Wikipédia rules ! "James Joseph Brown Jr., né le 3 mai 1933 et mort le 25 décembre 2006, est un musicien, chanteur, auteur-compositeur, danseur et producteur américain. Un des initiateurs du funk, il est fréquemment surnommé The Godfather of Soul. Tout au long d'une carrière qui a couvert six décennies, Brown est l'une des figures les plus influentes de la musique populaire du XXe siècle et est réputé pour ses performances scéniques.
Après une période de prison pour cambriolage, Brown commence sa carrière comme chanteur de gospel en Géorgie avant d'intégrer et de devenir la figure de proue d'un groupe de R&B vocal (The Famous Flames). Brown accède à une notoriété nationale à la fin des années 1950 avec des ballades comme Please, Please, Please et Try Me et se bâtit une réputation d'inlassable performeur scénique. Brown connaît son apogée dans les années 1960 avec des succès colossaux (Papa's Got a Brand New Bag, I Got You (I Feel Good) et It's a Man's Man's Man's World). À la fin des années 1960, Brown modifie son approche musicale, passant d'un mix musical fondé sur le blues et le gospel vers une approche africanisée qui jette les bases et ouvre la voie au développement de l'ensemble du courant funk. Au début des années 1970, Brown a totalement établi le son du funk après la formation des The J.B.'s avec des disques comme Get Up (I Feel Like Being a) Sex Machine ou The Payback. Brown est également remarqué pour des titres à commentaire social, notamment avec le single Say It Loud - I'm Black and I'm Proud en 1968. Brown a continué à se produire et enregistrer jusqu'à son décès en 2006.
Brown détient le record de l'artiste ayant placé le plus grand nombre de singles au sein du Billboard Hot 100 sans avoir jamais atteint la 1ère place du classement. Il a toutefois classé 17 de ses titres à la première place des « R&B charts ».
Il aura notamment inspiré de futures célébrités dans l'histoire de la danse, dont le célèbre chanteur et danseur Michael Jackson."

Je rajouterais aisément Iggy Pop et surtout Mick Jagger qui est d'ailleurs l'un des producteurs du biopic qui va sortir sur James Brown :


Je me rappelle le début des 90's, la sortie de ce coffret (cd uniquement !) magique (1991) "Star time" et des trésors qu'il renfermait. Une époque où l'on essayait tous de remonter le filon, de gratter sous le vernis populaire de certains artistes ou groupes. Et ce coffret était une nouvelle porte pour aller chercher une autre porte... Ce qui venait en contrepoint de ce reportage vu sur les nuits parisiennes où deux jeunes femmes, se prenant surement pour les reines de la nuit et de la fête avaient déclaré : "Aujourd'hui si on est dans une fête, et qu'on doit se taper du James Brown, de façon systématique, on se barre"...


Certes, ce "Sex Machine"  fameux pourtant, mais entendu à tour de bras (notamment par l'entremise de cher Manoeuvre, tiens encore lui) et cité comme quasi unique référence du grand Monsieur avait de quoi agacer, peut être. Il aura fallu attendre la fin des 90's et le début des années 00's pour entendre d'autres morceaux, à travers la pub (qui devient à ce moment là, popularisatrice de musique, y compris pour le rock'n'roll). Peut être un effet "Tarantino" et un retour de ses films tournés comme des spots publicitaires (ça cogne, vite, bien, ça reste gravé dans la tête sans qu'on s'en rende forcément compte).



Je me rappelle aussi ce concert en 1996, où le seigneur avait décontenancé plus d'un  présent (normal c'était un de ces festivals fourre-tout qui vont devenir la plaie des années 00's...) car James Brown n'était apparu qu'au bout de dix minutes de "mise en jambes" de ses musiciens et choristes. J'étais le seul (?) à l'avoir perçu, c'était un show joué façon revue soul des 60's... Mais ça peu le savait... Tout comme le contenu de son concert, nourri de morceaux plus obscurs, plus difficiles d'approche, moins tubesques... Bref, l'incompréhension totale... "trop vieux", "se prends pour une star", "se fait désirer","il fait du jazz maintenant ?", "tout ça pour ça" avais-je pu entendre dans les différents commentaires...
Le concert que je vous propose ici n'est pas très éloigné de ce que j'avais pu voir cette année là. Sauf que Mister Dynamite a misé sur les tubes, sur ce coup là ! Il date de 1999 et il a été enregistré à Las Vegas mais n'est sorti qu'en 2000. Le public présent me fait un peu penser au concert de Jacques Dutronc, le show aussi d'ailleurs (ambiance revue).

Le tracklisting du concert est :
1    Get Up Offa That Thing
2    Gonna Have A Funky Good Time
3    Living In America
4    Popcorn
5    Soul Power
6    Soul Man
Vocals – Roosevelt Johnson
7    I Got That Feeling
8    Hot Pants
9    Try Me
10    Prisoner Of Love
11    Georgia On My Mind
12    If I Ruled The World
13    Why Don't You Do Right
    Vocals – Candice Hurst
14    Papa's Got A Brand New Bag
15    Funk On A Roll
16    Payback
17    I Feel Good
18    Papa Don't Take No Mess
19    Please Please Please
20    Sex Machine
21    I Still Care
    Vocals – Tomi Rae
22    Try
    Vocals – Tomi Rae  


INTRO :

Part 1 :

Part 2 :

Part 3 :

Final :



Et pour finir sur le sujet, un reportage en VOSTFR sur le monsieur, qui complète bien cet article et prépare bien au visionnage du film biopic qui va sortir...

Part 1 :


Part 2 :


Part 3 :

Part 4 :




mercredi 20 août 2014

Hommage bis, Ramones Live complete !



RAMONES (always) Live : Blitzkrieg Bop / Teenage Lobotomy / California Sun / Pinhead / She's the one

Chose promise, chose dute, voici la totalité des live présents sur le double DVD "It's alive 1974-1996" consacré au gang de faux frères le plus célèbre du rock'n'roll !
Les vidéos sont à peu près dans l'ordre chronologique, mais bon vu le nombre, y'a surement quelques décalages, de toutes façons toutes les dates et les lieux sont mentionnées au début des vidéos, les bonus sont présents également.  Bref, de quoi se faire plaisir si vous n'êtes pas assez fans ou assez riches pour pour vous procurer le DVD..
Le live de la Saint-Valentin à Londres y est présent aussi... Dire qu'il m'aura fallu attendre plus de vingt ans pour le voir ! L'un de mes premiers "Live" sur disque... Beaucoup de ces vidéos sont dispos sur le web (youtube) mais vu comment le DVD est protégé, ce n'est pas si évident que cela...
Et puis, vous êtes en bonne compagnie ici, pas de pubs, que du rock'n'roll...
Pas de traduction française des interviews, sorry, pas le temps.
Rien que le rip de ce DVD m'a pris un temps énorme.Comme d'hab' j'essaie d'avoir le meilleur streaming possible avec les moyens donnés par Blogger... Le son est lui aussi optimisé.
Après ça reste du streaming et cela dépend aussi de votre qualité de débit.
Un bon complément à ce qui concerne les Ramones par ici (en attendant "RAW" peut être un jour...)
Si vous insistez un peu...

One Two Three Four !

1974, CBGB's, les débuts...

Max Kansas city, l'autre endroit important...

















Quelques interviews :












Bonus...

 
"super rare music video" (X3)

Des photos !






Concert culte












Milan


Finlande


US Festival
Part 1 :
Part 2 :

Argentine (1987, vidéo amateur)

Part 1 :

Part 2 :




Argentine, 1996


Crédits (ça fait du monde)


KDO, la guirlande RAMONES !!


Message perso :


mercredi 16 juillet 2014

Hommage




Part 1 :


Part 2

Part 3 :

Part 4 :


Part 5 :



Marky doit quand même se sentir bien seul aujourd'hui, lui qui a connu tous les RAMONES originaux !

Un autre hommage par ici...

dimanche 9 mars 2014

THE FUCKIN' STOOGES, Mesdames et Messieurs !



Real Cool Times, covered by The Nomads


Arrivé dans une forme d'impasse avec ses disques solos, parfois bons, mais surtout souvent fourre-tout, donc indigeste, Iggy Pop décide de relancer la folie Stoogienne au début des années 00's.
Il est important de noter que ses deux premiers albums solo, enregistré sous la houlette de David Bowie, sont, en ce qui me concerne, a mettre à part...
Faut dire, qu'il n'a pas du être insensible aux différents tribute-bands qui fleurissent depuis un moment (toujours !) dont le point culminant est sans doute le projet piloté par Jay Mascis, l'âme des Dinosaur Jr, groupe stoogien si il en est, du côté grungy, voire hardcore du rock'n'roll.
En effet le "Stooges Project" n'est composé de rien moins que les Asheton brothers et Mike Watt, autre légende du "son qui bastonne" américain  Minutemen à la basse pour remplacer Dave Alexander, le bassiste original absent pour cause de décès.
L'idée est née lors d'une tournée américaine de Jim Mascis & The Fog - groupe dans lequel l'ex-Minutemen Mike Watt tient la basse. En effet, souvent, le guitariste Ron Asheton les rejoignait sur scène pour se lancer dans quelques reprises des Stooges ... Les trois compères ont alors décidé de pousser les choses encore plus loin, en imaginant ce "projet" et en faisant appel au frère de Ron, Scott, à la batterie.

Le Stooges Project en 2002
 
Ron Asheton, Jay Mascis, Mike Watt, Scott Asheton

Stooges Project

Le projet Stooges, de passage aux Transmusicales de Rennes en 2002 verra même Dominic Sonic, le chanteur issu des bretons  Kalashnikov, dont la carrière solo est fortement influencée par Iggy et sa bande entre autres, accompagner le groupe pour un "No Fun" historique.

Dominic Sonic avec ses héros, 2002.

Dominic sonic aux Transmusicales de Rennes, 2002.

Mais revenons à Iggy Pop et ses Stooges. au delà de ces tribute bands, l'iguane va sortir l'album "Skull Ring"  en 2003, avec la participation, notamment à l'écriture, des 2 frères Asheton.

Un album où se côtoient également Green Day ou encore pire, Sum 41...
De quoi ramener surement un "plus jeune auditoire".

C'est surement ce dernier album solo "sonique" qui va relancer la machine Stooges.
Les frangins Asheton ont plutôt été malmenés par Iggy, surtout Ron qui se voit relégué à la basse après le décès de Dave Alexander et l'arrivée de James Williamson pour l'album "Raw Power" en 1973, déjà produit par Bowie. Cependant, ils n'étaient pas restés muets, usant de leur instruments au sein de groupes comme "Destroy all Monsters" ou les fameux "Sonic RendezVous Band"...

DAM (Destroy All Monsters) avec Ron Asheton.

En 2003, donc, Iggy rassemble ses troupes, laissant la place de bassiste demeurée vacante à Mike Watt, le fan trop ultime. Et le groupe va jouer, jouer, jouer. Tirant la langue à l'histoire, tortillant la queue du diable (qui finira quand même par avoir la peau de Ron Asheton le 6 janvier 2009) et prenant une saine revanche.
Surement que dans les 60's finissantes, le groupe était trop en avance sur son temps, et qu'il n'a jamais eu la reconnaissance, à l'époque, qu'il méritait. Peut être que la concurrence avec le MC5 fut trop rude à l'époque.
Même si les deux groupes ne pouvaient que se compléter !

 Scott Asheton et Rob Tyner (MC5)

Le groupe renaissant, ne va jouer que les deux premiers albums :

1969
1970

Ce, jusqu'au décès le 6 janvier 2009 de Ron Asheton, remplacé, presqu'au pied levé (l'histoire se répète toujours) par James Williamson, nouveau retraité de la Silicon Valley. Du coup, le groupe recomposé va ajouter les deux albums suivants, avec la précision "Iggy and the Stooges" apportée dés 1973, histoire que l'on sache bien qui est le patron...

1973

1975-1977
Pas vraiment un album des Stooges, mais important pour la suite et  même le futur...

C'est donc le concert donné à Detroit, Michigan, le 14 août 2003, enregistré via Creem magazine, que l'on peut se jouer et se rejouer. On y voit même Steve Mackay et son saxophone, lui qui a participé aux deux premiers Stooges. Une impression de vivre enfin cette belle aventure et depuis, je suis sur que vous n'avez pas loupé Iggy et sa bande...




Part 1 :
Part 2 :
Part 3 :
Part 4 :


Le DVD du Show est accompagné d'un set "showcase"  dans un grand magasin de disques.
Seuls les 3 membres originaux sont présents, histoire de confirmer surement aux jeunes générations, de qui et de quoi il s'agit : The Fuckin' Stooges !!
Part 1 :
Part 2 :
Part 3 :


Poster Frank Kozik



On n'oublie pas qu'un groupe chéri par ici est le fruit AUSSI des Stooges !



Retrouvez Scott Asheton en compagnie de Sonny Vincent ici :

http://shitshishit.blogspot.fr/2012/11/neat-neat-neat-24-its-sonny-day.html

Rest in peace


Un single collec' ...
J'aurais préféré le single en vrai plutôt qu'une photo ! ;-)

jeudi 24 octobre 2013

Doc, fais moi me sentir mieux !


Mercredi 23 Octobre : Alors que je viens d'apprendre le décès du second grand guitariste de Dr Feelgood, John 'Gypie' Mayo, il est temps, par ici, de rendre hommage aux pub rockers DOCTOR FEELGOOD.

Cet album, qui a vu le départ de Wilko Johnson, n'est pas de la daube. John 'Gypie' Mayo ne fait même pas regretter son illustre prédécesseur lorsqu'il le défend live et qu'il enregistre les deux suivants avec le groupe !

John 'Gypie' Mayo sur scène avec Pete Gage et Alan Glen

Pourquoi cet interstice au pub rock ? Parce qu'avec l'apparition, de groupes méritants comme les jeunes STRYPES, je pense qu'il ne faut pas oublier ce que je considère comme les premières racines du punk rock, à savoir le pub rock (ou rythm and blues) qui lui a filé son énergie !

THE STRYPES

Je ne ferais l'inventaire des groupes du genre, ces chauffeurs de salle que l'histoire du rock a parfois oublié au profit de sombres récits de dope, de plans people ou de concours de celui qu'à le plus gros... d'ampli !
Les pub rockeurs, eux qui font leur truc, sans se soucier à quelle mode du moment il va falloir coller...

DOCTOR FEELGOOD, first era.

Le 8 Novembre 1975, DOC FEELGOOD  Live chez eux !

Le blanc, le noir...

Look de mafieux, tronches déterminées, Doc Feelgood a toujours su mettre le feu sur scène !
En 1975, la courte échelle au punk rock était déjà en place...


dimanche 20 octobre 2013

HOODOO, you love !

Groupe emblématique depuis les 80's et originaire d' Australie,  HOODOO GURUS fut pour beaucoup une référence concernant une power pop aux guitares explosives mais racées. Le groupe composé  à la base d'ex membres des VICTIMS, héros punks Australes avec le tube "television addict" notamment, donnait à ses débuts dans un rock'n'roll orienté  pop garage façon FLESHTONES.
La formation du groupe changea à plusieurs reprises avec des venues illustres de musiciens issus de groupes comme les HITMEN ou  FUN THINGS.

Ce titre des Victims est régulièrement joué live par les Hoodoo Gurus

The Hitmen, après des débuts plus punk rock sous le nom "Johnny and the Hitmen"
s'illustrèrent par des morceaux plus orientés power pop de qualité.

 La formation originelle de JOHNNY AND THE HITMEN, que d'illustres noms !!!!

D'autres groupes australiens donnaient eux dans la pop  inspirée du meilleur des Kinks, entre autres...


The Church

... D'autres donnaient eux dans une pop plus conventionnelle, sans être commerciale pour autant, mais plus facilement passable en radio...

Go betweens

Et les Hoodoo gurus dans tout ça ? Et bien ce qui vint vite à les caractériser fut quand même ce "gros son" de guitares, mais pas que, correspondant en fait à la marque de fabrique des groupes rock'n'roll australiens telle qu'elle fut déposée par les héritiers directs des STOOGES au pays de kangourous, RADIO BIRDMAN (pour ne pas les nommer)

RADIO BIRDMAN live 1977

Bien sûr, l'Australie avait connu aussi la tornade SAINTS en son temps de furieux punk rock, une valeur sûre, même après la tempête...
THE SAINTS, (i'm) stranded

Alors, les HOODOO GURUS représentent un peu le mix de tout ça, des mélodies, des guitares rageuses, des harmonies entêtantes, une musique intemporelle même si, au vu des différentes vidéos, on peut percevoir certains changements d'époque...
Et bon sang, on a toujours eu un faible pour ce groupe à cause de tout ça !


La première période du groupe avec : Dave Faulkner (guitares) et  James Baker (drums) les deux ex VICTIMS donc, Kimble Rendall (guitares) et Roddy Radalj (guitare encore !) , groupe sans basse donc,  et à 3 guitares n'enregistrant que le single Leilani ensemble (1982).
Pour leur 1er album "Stoneage Romeos" en 1984, le groupe est modifié : Clyde Bramley (basse guitare, choeurs) qui vient des HITMEN  remplace Rendall et dans la foulée Roddy Radalj quitte le groupe, ne semblant pas apprécier la nouvelle direction musicale du groupe.
Il est remplacé par l'ex FUN THINGS Brad Shepherd (guitare) qui est un pote de Bramley avec qui il a croisé le fer brièvement au sein des HITMEN également.

 L'album Stoneage Romeos (1984)

Brad Shepherd, James Baker, Clyde Bramley and Dave Faulkner


Leilani et son clip sympatoche...


My girl (avec clin d'oeil à Tojo)

I want you back

Tojo

Fort d'un engouement certain, de vidéo-clips de qualité mettant le groupe en avant dans les 80's, époque où l'image vidéo prenait de l'ampleur, le groupe atteint une popularité certaine en Australie.
Le batteur originel quitte le groupe, il semblerait plutôt qu'il soit viré, peut être à cause de sa moue dédaigneuse héritée du punk rock, et il est remplacé par Mark Kingsmill au CV chargé  (The Hitmen, New Christs, Screaming Tribesmen entre autres).
 Le groupe enregistre un album qui fera date et attaque une grande tournée en Europe, aux USA et en Angleterre.



L'album Mars need guitars (1985)

Bittersweet

Like, Wow-wipeout !



Death Defying

Le groupe est attaqué par les fans de première heure et la presse spécialisée à propos de l'éviction de Baker, le batteur originel, accusé de vouloir donner une couleur trop "indie" au groupe. Les critiques donnèrent à Faulkner, le leader, de la matière pour écrire le titre Poison Pen.
Entretemps, le batteur écarté participera au groupe BEASTS OF BOURBON  et fondera les DUBROVNIKS avec Roddy Radalj... Pas mal comme pirouette !


Poison Pen

In the Wild

Le troisième album "Blow Your Cool" avec power pop à l'honneur (1987)

What's my scene ?

Good times, qui parle du bon temps passé sur la route avec les Bangles, entre autres.

In the middle of the land

Une cover d'un hit country de Jeannie C. Riley's band sortie uniquement en single (1988)

Generation gap

Changement de Maison de disques pour le prochain album et changement de bassiste, Richard Grossman (ex Matt Finish, Divinyls)  remplace Clyde Bramley.

Cette formation deviendra la formation définitive
Magnum Cum Louder (1989)

Come anytime

Axe Grinder

Another World


 Kinky (1991)
Un album de transition aux couleurs pop criantes...

Miss freelove '69, le tube de l'album

1000 Miles away

A place in the sun

Single de transition encore !
Little drummer boy (up the khyber)
une chanson de noël traditionnelle mis a la sauce hoodoo !

Crank (1994)
Le"retour" au gros son pour un album qui m'avait bien scotché à l'époque !

The right time

You open my eyes

Less than a feeling

Nobody

1995 voit la collaboration entre les Hoodoo Gurus et les MASTERS APPRENTICES pour un single détonnant !

 MASTERS APPRENTICES dans les 70's

Turn up your radio

In Blue cave (1996)
Un album qui rassemble à l'époque toutes les tendances du groupe au niveau de ses sonorités.

Big deal

Waking up tired

If only...


Le groupe a sorti différentes compilations au cours de sa carrière.
Par ici, on vous conseillera celle-ci, déclinée en 1,2 ou 3 cd's (uniquement, désolé).

Du live, des singles, des covers, des inédits.... Du pain béni pour les fans Hardcore du Hoodoo Gurus !
Bite the Bullet – Director's Cut 






Brad Sheperd a du, entretemps, se bagarrer contre le cancer pour la seconde fois.

 Mach Schau (2004)
L'album du retour après un break et des projets parallèles pour les différents membres du groupe dont nous retiendrons surtout les  très garagistes PERSIAN RUGS, au son pas si éloigné des HG tout de même, avec un lp très dur à choper...
L'album de ce comeback est très groove avec des morceaux qui sonnent quasiment tous comme des tubes.
C'est un retour gagnant, le groupe est au mieux de sa forme !
D'ailleurs, le groupe lui même avoue que cet album est le summum de leur carrière au niveau des compos.

Domino

Nothing's changing my life (live)

Nothing's changing my life (le clip officiel)

When you get to California et ses trompettes vindicatives  qui font penser aux cousins Fleshtones !

Purity of essence (2010)
Retour avec un son plus "classique"  (retour aux sources pourrait-on sous-titrer cet opus)
Mais qui pourrait bien être le dernier.

Les Hoodoo Gurus en pleine forme chez eux Live  en 2008 !

Bittersweet



Come anytime

1000 Miles away



I was a kamikaze pilot


Quelques live toutes époques confondues






J'espère bien que tout ceci vous donnera envie d'écouter les albums du groupe !

Be my guru !